Mercredi 12 avril 2017
BARON
La randonnée de ce jour se déroulait à Baron par Noaillan et Saint Denis, parmi bois, vignes, collines vallonnées, centres équestres, peu de villages.
Nous avons du rallonger le parcours du fait d’un chemin privé au château Barrault, d’un champ en culture au passage du chemin, et d’enclos à chevaux à contourner.
Nous sommes onze, sous un ciel bleu, à partir à l’aventure parmi des fleurs, ni orties ni giroflée, lilas avec son locataire, glycine, un nid à la cime d’un résineux ?
Nous quittons Baron avec vue de l’église saint Christophe que nous visiterons à la fin de notre parcours. Nous passons à côté de Saint Quentin de Baron, panorama de son église, toujours ce clocher mur typique de la région.
Après les vignes des coteaux avec vues grandioses (les photos ne restituent pas le réel), nous passons devant le château Camiac transformé en hôtel pouvant accueillir, familles, groupe d’amis ou amoureux à un tarif « modeste ».
Un bovin écossais vient voir Paul, qui reste sur ses gardes !
Un chemin pour accéder à une palombière nous permettra de rejoindre notre trace initiale.
A l’entrée de Baron la vierge et l’enfant Jésus devant le presbytère. Christine ira chercher les clefs à la mairie de l‘église et de la crypte. L’église saint Christophe date du XIe siècle, était un prieuré attaché à l'abbaye de La Sauve-Majeure.
Avant les restaurations, l'église possédait un clocher-mur pignon à deux baies campanaires, élevé à la fin de l'époque gothique. En 1908, le clocher-mur est remplacé par un nouvel ouvrage de style néo-roman.
Restes de peinture polychrome.
La crypte possédait une statue en bois aux yeux rouges. Il était dit que Notre-Dame-de-la-Peur guérissait les enfants de la “trouille”, et les convaincus n'hésitaient pas à passer les enfants plusieurs fois par une des fenêtres, côté Est de la crypte.
Cette statue a été décapitée et a disparu en 1966 !
Les chapiteaux de la crypte, dessin végétal ou forme géométrique et vue d’ensemble de la crypte.
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